Exposé.es : d'après "Ce que le sida m'a fait" d'Elisabeth Lebovici : exposition du 16 février au 14 mai 2023 / [sous la direction d'Elisabeth Lebovici et François Piron]
Langue(s) : français ; anglais ; 639-2.Pays : France, Belgique.Publication : Paris : Palais de Tokyo : Fonds MercatorPublication : C 2023Description : 1 volume (255 pages) : illustrations en noir et en couleurs, couverture illustrée ; 28 cmSUDOC : 268460043ISBN : 978-94-6230-339-3 (broché) .- 978-2-84711-143-9 (Palais de Tokyo) Titre de forme : [Exposition. Paris. Palais de Tokyo. 2023]Autre(s) titre(s) : ExposésAutre(s) titre(s) : ExposéesNote générale : Cette publication paraît à l'occasion de l'exposition "Exposé.es" (d'après "Ce que le sida m'a fait" d'Elisabeth Lebovici) présentée au Palais de Tokyo, Paris
Note sur les bibliographies et les index : Notes bibliographiques.
Résumé : L'exposition collective "Exposé-es" conçue par François Piron, trouve son inspiration dans l'ouvrage de la critique d'art Elisabeth Lebovici, "Ce que le sida m'a fait : Art et activisme à la fin du XXe siècle" et se construit avec l'autrice. Cette exposition et la publication qui l'accompagne tracent et retracent les relations entre l'art et l'activisme de la lutte contre le VIH dans certains contextes, et les généalogies entre des générations d'artistes qui créent des liens affinitaires entre les années 1980 et aujourd'hui. Plutôt qu'une commémoration, ce projet curatorial et éditorial est une réflexion, avec des artistes et des personnes concernées, sur l'histoire de cette lutte et ses résonances contemporaines. Il observe et analyse comment les communautés construites autour du VIH ont produit des formes et des structures qui aujourd'hui encore ont une efficacité et une pertinence politique, parfois au-delà de leur objet initial. Comme l'écrit Elisabeth Lebovici, nous vivons "en sida", c'est-à-dire que le sida a ouvert une période et une épistémologie propres ; les évolutions de la maladie, de sa prévention et de ses soins ne font pas en sorte que nous soyons sorti·es de cette période. Simplement, nous nous en tenons à différentes distances selon notre perspective, notre engagement, notre situation économique, sociale et géographique. Dans cet ouvrage, l'histoire de la lutte contre le VIH et la part qu'y ont pris·es les artistes sont considérées comme des ouvertures vers des enjeux contemporains qui touchent à la défense et à l'expression de toutes les minorités, en ouvrant notamment aux questions de genre, de race, et de "validisme".Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | |
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Livre | Bibliotheque Beaux-Arts de Marseille Rez-de-chaussée | AAS SIDA (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 2024-0215 |
Cette publication paraît à l'occasion de l'exposition "Exposé.es" (d'après "Ce que le sida m'a fait" d'Elisabeth Lebovici) présentée au Palais de Tokyo, Paris
Contient des textes traduits de l'anglais
Notes bibliographiques
L'exposition collective "Exposé-es" conçue par François Piron, trouve son inspiration dans l'ouvrage de la critique d'art Elisabeth Lebovici, "Ce que le sida m'a fait : Art et activisme à la fin du XXe siècle" et se construit avec l'autrice. Cette exposition et la publication qui l'accompagne tracent et retracent les relations entre l'art et l'activisme de la lutte contre le VIH dans certains contextes, et les généalogies entre des générations d'artistes qui créent des liens affinitaires entre les années 1980 et aujourd'hui. Plutôt qu'une commémoration, ce projet curatorial et éditorial est une réflexion, avec des artistes et des personnes concernées, sur l'histoire de cette lutte et ses résonances contemporaines. Il observe et analyse comment les communautés construites autour du VIH ont produit des formes et des structures qui aujourd'hui encore ont une efficacité et une pertinence politique, parfois au-delà de leur objet initial. Comme l'écrit Elisabeth Lebovici, nous vivons "en sida", c'est-à-dire que le sida a ouvert une période et une épistémologie propres ; les évolutions de la maladie, de sa prévention et de ses soins ne font pas en sorte que nous soyons sorti·es de cette période. Simplement, nous nous en tenons à différentes distances selon notre perspective, notre engagement, notre situation économique, sociale et géographique. Dans cet ouvrage, l'histoire de la lutte contre le VIH et la part qu'y ont pris·es les artistes sont considérées comme des ouvertures vers des enjeux contemporains qui touchent à la défense et à l'expression de toutes les minorités, en ouvrant notamment aux questions de genre, de race, et de "validisme".