Trois carrés rouges sur fond noir / Tonino Benacquista
Langue(s) : français ; 639-2.Pays : France.Publication : [Paris] : Gallimard, DL 1999Publication : 18-Saint-Amand : Bussière Camedan impr.Description : 1 vol. (234 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cmSUDOC : 049815989ISBN : 2-07-040798-5 (br.) .- 978-2-07-040798-9 Prix : 28 FRF ; .Collection: Folio, Policier, 49Appartient à la collection : Folio. Policier, ISSN 1289-8465 ; 49Classification - CDU : 823Note sur l'édition et l'histoire : Réimpressions : 2002, 2005, 2009, 2023
Résumé : "- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue..."Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | |
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Livre | Bibliotheque Beaux-Arts de Marseille Rez-de-chaussée | Littérature | AL BENA (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Prêté | 24/06/2024 | 2024-0242 |
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AL BELI Grands carnivores | AL BENA Malavita | AL BENA Saga | AL BENA Trois carrés rouges sur fond noir | AL BERE Gabriële | AL BERG Le chevron | AL BERG Miette |
Réimpressions : 2002, 2005, 2009, 2023
"- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue..." 4e de couverture