Manières d'être vivant : enquêtes sur la vie à travers nous / Baptiste Morizot ; postface d'Alain Damasio
A pour autre édition, sur un support différent : Manières d'être vivant : Arles ; 2020 - Baptiste Morizot, 978-23-3012-975-0Langue(s) : français ; 639-2.Pays : France.Publication : Arles : Actes Sud, DL 2020Description : 1 vol. (324 p.) : ill., couv. ill. ; 22 cmSUDOC : 242453651ISBN : 978-2-330-12973-6 (br.) Prix : 23 EUR.Collection: Mondes sauvages : pour une nouvelle allianceAppartient à la collection : "Mondes sauvages"Note sur les bibliographies et les index : Notes bibliogr..
Résumé : Imaginez cette fable : une espèce fait sécession. Elle déclare que les dix millions d’autres espèces de la Terre, ses parentes, sont de la “nature”. À savoir : non pas des êtres mais des choses, non pas des acteurs mais le décor, des ressources à portée de main. Une espèce d’un côté, dix millions de l’autre, et pourtant une seule famille, un seul monde. Cette fiction est notre héritage. Sa violence a contribué aux bouleversements écologiques. C’est pourquoi nous avons une bataille culturelle à mener quant à l'importance à restituer au vivant. Ce livre entend y jeter ses forces. En partant pister les animaux sur le terrain, et les idées que nous nous faisons d’eux dans la forêt des savoirs. Peut-on apprendre à se sentir vivants, à s’aimer comme vivants ? Comment imaginer une politique des interdépendances, qui allie la cohabitation avec des altérités, à la lutte contre ce qui détruit le tissu du vivant ? Il s’agit de refaire connaissance : approcher les habitants de la Terre, humains compris, comme dix millions de manières d’être vivant.Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | |
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Livre | Bibliotheque Beaux-Arts de Marseille Mezzanine | Théorie | AET MORI (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 2020-1105 |
Notes bibliogr.
Imaginez cette fable : une espèce fait sécession. Elle déclare que les dix millions d’autres espèces de la Terre, ses parentes, sont de la “nature”. À savoir : non pas des êtres mais des choses, non pas des acteurs mais le décor, des ressources à portée de main. Une espèce d’un côté, dix millions de l’autre, et pourtant une seule famille, un seul monde. Cette fiction est notre héritage. Sa violence a contribué aux bouleversements écologiques. C’est pourquoi nous avons une bataille culturelle à mener quant à l'importance à restituer au vivant. Ce livre entend y jeter ses forces. En partant pister les animaux sur le terrain, et les idées que nous nous faisons d’eux dans la forêt des savoirs. Peut-on apprendre à se sentir vivants, à s’aimer comme vivants ? Comment imaginer une politique des interdépendances, qui allie la cohabitation avec des altérités, à la lutte contre ce qui détruit le tissu du vivant ? Il s’agit de refaire connaissance : approcher les habitants de la Terre, humains compris, comme dix millions de manières d’être vivant. 4e de couverture